La Coupe du Monde de Maracana aura lieu en Côte d’Ivoire du 27 septembre au 6 octobre. Le Burkina Faso y participe avec 15 autres pays de 4 continents différents.
Pour son premier match, le Burkina Faso va affronter le Sénégal le 28 septembre. Le sélectionneur de l’équipe nationale de Maracana du Burkina Faso, Patrice Seri, s’est exprimé au micro de 226foot à propos de la compétition.
Comment s’est passée la préparation ?
La préparation s’est très bien passée, sur tout, dans la motivation, dans le travail… et nous avons eu trois semaines de préparation. Donc, vraiment, ça s’est très bien passé et là il n’y a pas trop de pépins, il n’y a pas eu de blessé. Alors, nous sommes actuellement à douze joueurs très en forme et bon, on attend la compétition.
Quel est votre sentiment avant le démarrage ?
Un sentiment de joie parce que d’abord c’est l’année de la résilience. Moi je pense que c’est la joie d’abord de représenter le pays et chez les joueurs aussi, de retrouver tout un groupe, au démarrage d’une compétition.
Donc, je pense que cette année est l’année où, quand même, le drapeau burkinabè doit sortir partout, là où il se doit. Donc c’est notre partition, d’être aujourd’hui (…) de jouer notre partition au Mondial. Donc on doit faire plaisir au football, au Maracana, aux Burkinabè, surtout à la population. Quelque part offrir au pays quelque chose de beau.
Quelles sont les chances de ton équipe ?
Je pense que nous somme une vieille équipe de Maracana et surtout l’une des meilleures équipes du Maracana. Donc on ne craint rien. Parce que, après la Côte d’Ivoire je pense que c’est le Burkina. Parce que l’année sur passée on était en finale avec la Côte d’Ivoire, on a été vice-champion. L’année passée, avec les mêmes joueurs, on a fini troisième. Je pense qu’on a les armes nécessaires pour dire que nous sommes une des meilleures équipes de la compétition.
Donc en ce qui concerne vraiment les chances, nous avons peut-être 80% de chance d’être vraiment sur le plateau des vainqueurs. Merci beaucoup. Je pense que l’esprit est bon. Merci aux autorités aussi, qui nous ont aidés sur tous les plans, financièrement, vraiment côté préparation et je pense que tout s’est bien passé de ce côté-là.
Merci beaucoup à nos autorités sportives et surtout à l’Etat du Burkina Faso, qui nous a tendu la perche, qui nous a tendu la main (…). On est satisfait, nous sommes déjà à Abidjan, bien logés et je pense que l’on attend vraiment le début de la compétition.